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“Au nom de la Terre”

By 2 octobre 2019juin 17th, 2020No Comments

J’accueillais hier à l’Assemblée nationale Édouard Bergeon, originaire de Jazeneuil pour une diffusion de son film poignant “Au nom de la Terre”.

Ce long métrage, déjà primé au festival du film d’Angoulême, nous interroge sur les dérives du modèle agricole et les conséquences sur les paysans et les citoyens de notre pays. Lors de l’échange qui a suivi la séance, Guillaume Canet & Edouard Bergeon avaient un mot à la bouche : consom’acteur. Une façon de nous dire que nous sommes tous concernés et tous responsables.

Le législateur a déjà commencé à prendre ses responsabilités (ainsi que je l’ai écrit dans cet édito : http://bit.ly/NomDeLaTerre) sur les prix, l’abandon et l’interdiction des phytosanitaires, le foncier et sa transmission ou les débouchés (50% de l’approvisionnement de la restauration collective devrait être bio et/ou locale).

En tout état de cause, ce que nous apprend ce film c’est qu’il est inutile et dangereux de nous opposer sur un sujet aussi essentiel, d’user de démagogie ou de stigmatisation. Et c’est avec les agriculteurs et aussi pour eux que nous devons changer de modèle !

Diffusion du film « Au Nom de la Terre à l'Assemblée nationale » !

J'accueillais hier à l'Assemblée nationale Édouard Bergeon, originaire de Jazeneuil pour une diffusion de son film poignant « Au nom de la Terre ».Ce long métrage, déjà primé au festival du film d'Angoulême, nous interroge sur les dérives du modèle agricole et les conséquences sur les paysans et les citoyens de notre pays. Lors de l'échange qui a suivi la séance, Guillaume Canet & Edouard Bergeon avaient un mot à la bouche : consom'acteur. Une façon de nous dire que nous sommes tous concernés et tous responsables. Le législateur a déjà commencé à prendre ses responsabilités (ainsi que je l’ai écrit dans cet édito : http://bit.ly/NomDeLaTerre) sur les prix, l’abandon et l’interdiction des phytosanitaires, le foncier et sa transmission ou les débouchés (50% de l’approvisionnement de la restauration collective devrait être bio et/ou locale).En tout état de cause, ce que nous apprend ce film c’est qu’il est inutile et dangereux de nous opposer sur un sujet aussi essentiel, d’user de démagogie ou de stigmatisation. Et c’est avec les agriculteurs et aussi pour eux que nous devons changer de modèle !

Publiée par Sacha Houlié sur Mercredi 2 octobre 2019

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